À propos 

Née en 1995 à Suresnes de parents franco-libanais, elle entre, en 2012, à l’École du Louvre pour y étudier l’histoire de l’art.

Les cours d’art et d’archéologie de la Chine, auxquels elle assiste, feront naître chez elle une passion pour le pays.

Elle découvrira ce pays-continent pour la première fois en 2013, puis successivement en 2016 et 2019.

Suite à son dernier voyage en 2019, lors duquel elle avait composé son premier carnet de voyage, Rosemary Taleb Rivière découvre sa vocation : dessiner l'autre. Dans ce premier carnet, un style de dessin à l'encre noire se définit pour devenir sa marque de fabrique, et sa publication par Elytis Éditions en novembre 2020 lui donne accès à une première notoriété.

À travers son oeil, les sujets représentés témoignent du regard de l'artiste, toujours attiré par l'honnête beauté de la Chine. Une beauté généreuse d'un peuple et d'une culture qui ne cesse de l'inspirer par sa sincérité et sa différence. La crise sanitaire mène Rosemary à trouver un autre moyen de revoir la Chine. Confinée, elle se replonge dans ses voyages passés et rend hommage à la grâce de ses rencontres dans ses dessins. L'encre devient alors son voyage.

 

LE VOYAGE COMME PRATIQUE ARTISTIQUE

 

Départ

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“Ma démarche commence par l’impulsion du voyage, le fantasme, l’idée d’aventure et de départ.”

 

Rencontres.

“Je voulais voyager pour rencontrer la Chine fantastique que j’avais imaginée un peu naïvement lors de mes cours d’histoire de l’art. Sur place un contraste sublime entre cette poésie culturelle et une brutalité des codes du quotidien un peu rustre, m’a séduite. Je crois que c’est précisément cela qui anime les compositions de mes dessins. L’énergie sincère d’un peuple héritier d’un art de vivre millénaire.”

 

Raconter.

“Mon carnet de voyage ne raconte pas vraiment un récit, mes dessins sont pour moi un outil de mémoire, dessiner encre littéralement ces beautés vues et vécues de manière pérenne dans mon esprit. Je dessine également et surtout pour rendre hommage à la générosité chinoise, celle du peuple, mais aussi celle de la nature époustouflante ou encore de la culture culinaire.”

 

AILLEURS

 

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